Acharnement ouvrier
Ne pouvant supporter l’existence de temps libres, qui sont pour eux autant de pertes de temps considérables, ils s’acharnent à leur besogne insignifiante, se faisant les esclaves de leur grandiose idéal de travailleurs zélés. Mais que vaut donc cette interminable corvée qu’ils cherchent à sauvegarder à tout prix? Elle n’est bonne qu’à les rendre ridicules!
N’avez-vous point honte, laquais, de vous comporter ainsi?